écurie n. f.
1. 〈Maine-et-Loire, Centre-Ouest, Indre-et-Loire, Bourgogne, Champagne, Ardennes, Lorraine,
Franche-Comté, Haute-Savoie, Savoie, Ain, Rhône, Loire, Isère, Drôme, Hautes-Alpes,
Provence, Lozère, Ardèche, Haute-Loire, Puy-de-Dôme〉 rural, usuel "bâtiment d’une exploitation agricole où l’on abrite, loge et soigne le bétail (en
part. les bovins mais aussi les chevaux, les porcs, les chèvres, etc.)". Stand. étable (mais voir rem. ci-dessous). – Les six vaches qui peuplent l’écurie (J. Desgênes, La Grange du Hazard, 1949, 13). Le soir, les vaches revenaient à l’écurie et on allait regarder la traite (S. Fabre-G., L’Isère, 1999, 121).
1. C’était une rude gaillarde que la cabanière. Prenant par principe le contrepied de
son homme, c’est elle qui régissait le train-train de la maison, trayait les deux
vaches, nettoyait l’écurie, gavait les oies et les dindes, tendait nasses et verveux. (J. Sorillet, La Glaise, 1952, 16.)
2. […] mon grand-père avait une grange et une écurie à chaque endroit, ce qui lui permettait de faire manger le foin sur place et le fumier
pour la culture des champs était aussi sur les lieux. Il avait ainsi trois granges
et écuries, il avait huit vaches et un mulet […]. (L. Fénix, Histoire passionnante de la vie d’un petit ramoneur savoyard, 1978 [av. 1958], 17.)
3. Il faisait un froid atroce. La maîtresse avait dit : De ce temps-là, on ne sortira
point les bêtes, elles attraperaient du mal. Et les animaux étaient demeurés dans
les écuries, au chaud. (A. Bardin, Angélina, une fille des champs, 1958, 102.)
4. Voici l’automne, l’époque où les mulets chargés de foin descendent vers la Romanche,
on nettoie les écuries en vue du long hivernage […]. (M. Liotier, Celui qui va devant, 1974 [1968], 86.)
5. Les vaches à l’écurie, debout, face à leur mangeoire de foin sec qu’on sale quotidiennement pour compenser
le manque d’herbe fraîche, frottent d’ennui leur mufle baveux contre le salpêtre des
cloisons. (C. Paysan, L’Empire du taureau, 1974, 75.)
6. Souvent le soir, avant d’aller reposer sous la couette de plume d’oie, Fidarchaux
s’en allait faire un tour à l’écurie pour étendre la litière des bêtes. Sous la paille destinée au taureau, il étendait
soigneusement quelques branches d’épine noire […]. (L.-A. Gauthier, Les Fidarchaux de Cabrefontaine, 1978, 51.)
7. Ici, il y avait les bœufs, dit-il. Je crois bien que « je me suis pleuré » comme un gosse quand on a vendu la dernière paire. Une « écurie » sans bœufs quelle tristesse ! Qui l’aurait cru ! (J. Jaussely, Deux saisons en paradis, 1979, p. 67.)
8. J’habite une écurie ! C’est vrai, on le dirait pas, parce qu’on a transformé. Au fond, y avait une crèche,
un râteau pour affener [= nourrir] les mulets et les bourriques. Et juste à côté y
avait les mangeoires des vaches. Bien arrangé, on voit plus que c’était une écurie. (A. Geaudrolet, Amours paysannes, 1980, 272.)
9. Une année, le colis [envoyé comme cadeau du Jour de l’An] contenait une ferme, aux
éléments divers, soigneusement emballés dans de la frisette : la maison d’habitation
au toit rouge, les diverses écuries, les barrières, et tous les animaux possibles, des chevaux aux poulets, en passant
par les moutons et les cochons. (Th. Bresson, Le Vent feuillaret. Une enfance ardéchoise, 1980, 112.)
10. […] on les [= mendiants] logeait des fois à l’écurie, où y avait une place, à la place d’un veau. (Témoin, dans BrussonCordon 1982, 100.)
11. Le plus souvent, les maisons comportent quatre parties : l’habitation, l’écurie (qui abrite les vaches et quelques porcs), la grange (destinée au fourrage), la remise
[…]. (Pays et gens de France, n° 89, le Jura, 7 juillet 1983, 23.)
12. C’est que, diable, il faut bien de la place pour abriter les grands troupeaux de montbéliardes
qui peuplent l’écurie tout l’hiver, et qu’il faut bien de la place aussi pour engranger la nourriture nécessaire
à tout ce cheptel. (Pays et gens de France, n° 90, le Doubs, 21 juillet 1983, 7.)
13. Son père devait avoir terminé de traire et rangeait les bidons dans l’écurie. (Fr. Martin, L’Enfance retrouvée, 1989, 142.)
14. Angèle était à l’écurie. Tous les jours, elle avait la charge des vaches. Elle aimait effectuer ce travail
et disposait d’une certaine dextérité. (Cl. Fourneyron, Quel temps faisait-il en Auvergne ?, 1991, 128.)
V. encore s.v. arranger, ex. 5 ; bacholle, ex. 10 ; bède, ex. 1 ; bouille, ex. 10 ; fruitière, ex. 11 ; montagne, ex. 2 ; peut, ex. 7 ; racasser, ex. 1.
□ En emploi métalinguistique ou autonymique.
15. Chacune des maisons possédait, de préférence à son côté, ou faisant angle avec elle,
une étable appelée l’écurie, où logeaient une ou deux vaches, qui, dans les temps très anciens, avait apporté
l’appoint d’une chaleur animale en s’ouvrant sur la chambre. (A. Pollier, Femmes de Groix ou la Laisse de mer, 1983, 33.)
16. La troisième partie [de la ferme], l’écurie, est, en fait, l’étable à vaches. (Pays et gens de France, n° 88, le Jura, 30 juin 1983, 7.)
17. L’appentis qui s’élevait à l’est de la cour était appelé l’écurie. Le terme ne convenait guère, car nous n’avions pas de chevaux. Il s’agissait d’un
local consacré à divers élevages […]. (P. Fohr, Les Vergers de Morhange, 1986, 123.)
18. C’était en hiver que les contraintes imposées par le bétail étaient les plus pénibles.
Les soins à lui donner occupaient une bonne partie de la journée. On se levait vers
4 heures 30 – 5 h. Après avoir déjeuner* [sic], on gagnait l’étable qu’on appelait « écurie ». Tristes locaux qui n’auraient probablement pas surpris un paysan des temps anciens.
Le plafond était bas, si bas que, dans certaines « écuries », il fallait se baisser pour passer sous les poutres. (J.-L. Clade, La Vie des paysans franc-comtois dans les années 50, 1988, 66.)
19. Les amateurs de pittoresque et d’originalité trouveront sans doute que dans les granges,
les remises, les écuries (comme on dit ici), les greniers des vieilles maisons, l’amoncellement des vieux
bâts, des vieux colliers, des vieux harnais, des vieilles cordes à barillons et leurs
« trouilles », suspendus à un piquet planté dans le mur, recouverts de poussière et de toiles d’araignées[,]
ça fait bien. (R. Canac et B. Boyer, Vivre ici en Oisans, 1991, 94.)
■ remarques. L’équivalent approximatif du français standard, étable, ne s’applique en principe qu’à un bâtiment destiné aux bovins ; écurie, dans les régions citées dans cet article, peut aussi désigner le bâtiment destiné
aux chevaux, ou à une cohabitation de plusieurs espèces incluant chevaux et autres
équidés.
2. Dans des lexies dont l’aire est plus restreinte (ou très restreinte).
— 〈Aussi Basse Bretagne〉 écurie aux/des vaches loc. nom. f. Synon. région. crèche*. – L’écurie des vaches attenante à la grange (G. Bienne, Marie Salope, 1975, 130). Une écurie à vaches (Les Carnets de guerre de Gustave Folcher, 2000 [1981], 55). Une écurie de vaches (M. Mazoyer, Les Aventures du Toine Goubard, 1982, 75).
20. Je n’avais pas envie de parler, j’étais oppressée d’une angoisse mortelle. Je ne rentrai
pas tout de suite dans la maison, je laissai le frère y aller seul. Je me réfugiai
dans l’écurie des vaches et c’est là qu’on me trouva. (A. Bardin, Angélina, une fille des champs, 1958, 102.)
21. […] c’était le grenier au blé. L’autre, c’était le grenier au foin ; il donnait juste
au-dessus des écuries aux vaches où qu’on pouvait jeter le foin d’en haut par un abat-foin. (J. Boutin, Louis Rougé, le braconnier d’Anjou, 1979, 82.)
22. On accède aux pièces d’habitation par un escalier latéral. Au pied de cet escalier
s’ouvre l’étable du cheval, tandis que l’écurie des vaches (termes employés ici) est sur l’entrée, appelée « devant de la maison » […]. (Pays et gens de France, n° 40, la Haute-Savoie, 24 juin 1982, 16.)
23. – Allez, zou*, ça suffit, fais pas le couillon*. Va nettoyer l’écurie des vaches ; ça fait deux jours que tu laisses ce travail d’homme à ta sœur. (M. Donadille,
Pasteur en Cévennes, 1989, 149.)
24. Les femmes contournent l’écurie aux vaches, et pénètrent dans le jardin. (Ch. Briand, La Batteuse, 1991, 122.)
25. Julien entre donc dans l’écurie des vaches, qui est vide bien sûr : les chaînes des crèches rouillent dans la poussière de paille
d’une litière qui ne sera plus changée. (A. Aucouturier, Le Milhar aux guignes, 1995, 154.)
— écurie à/aux chèvres loc. nom. f.
26. Même les rues faisaient prudemment le tour de certaines maisons : des rues pleines
d’épiceries, de boucheries, d’artisaneries, de tonneliers et de charrons, brusquement
devenaient grises et ne pipaient plus mot. À peine si elles osaient s’approcher de
certaines vieilles maisons très dentelées. Elles venaient jusque-là avec de timides
écuries à chèvres ou des murs sans aucune ouverture. (J. Giono, Les Âmes fortes, 1949, 265.)
27. […] quelques dizaines [de choux], les mal formés, seraient destinés à l’écurie aux chèvres ; et enfin, il ajoutait les trente choux qui représentaient la part des lièvres.
(M. Scipion, Le Clos du roi, 1980 [1978], 104.)
— écurie des cochons loc. nom. f. Stand. porcheriea. Synon. région. crèche* à cochons. – Une belle écurie de cochon (M. Mazoyer, Les Aventures du Toine Goubard, 1982, 63).
a Cf. écurie des porcs dans la métalangue de ALLy 326.
28. L’école était très vétuste et la cantine était installée dans une ancienne écurie à cochons […]. (Morbihannaise de Riantec, dans S. et J. Lacouture, En passant par la France, 1982, 312.)
29. Nos deux cochons sont enfermés dans leur écurie (M. Chatelain, Alpages, terres d’été, 1996, 21.)
V. encore ici ex. 32.
— écurie à/de lapins loc. nom. f. Stand. clapier. Synon. région. crèche* à lapins. – Écuries de lapins (M. Mazoyer, Les Aventures du Toine Goubard, 1982, 102).
30. Dans les cités, il y a peu d’animaux domestiques, ces bouches inutiles à nourrir.
Mais les lapins et les volailles ne manquent pas. Partout pour eux, petit à petit,
le toit des « écuries » s’est prolongé avec des tôles, des planches recouvertes de papier goudronné afin
d’abriter les clapiers enfermés souvent dans le poulailler. (A.-M. Blanc, Marie-Romaine, 1988, 152-153.)
31. Avec son frère Robert, Adolphe a exploité jusqu’en 1992, année de leur retraite, la
ferme familiale : une soixantaine d’hectares sur la rive haute de la Creuse. […] Ils
élevaient chacun un cochon, vivant par ailleurs amplement des produits du jardin,
du poulailler et de l’« écurie à lapins ». (« Journal d’un paysan de Creuse [A. Michard, Saint-Médard-La-Rochette] », présenté par T. Jolas et S. Pinton, Terrain. Carnets du patrimoine ethnologique 28 (1997), 153-154.)
— écurie aux/des moutons loc. nom. f. Stand. bergerie.
32. Il y a également une petite écurie pour les cochons, une autre pour les moutons […]. (M. Chatelain, Alpages, terres d’été, 1996, 19.)
— écurie des poules loc. nom. f. Stand. poulailler. (Cf. ALO 626 pt 6, Indre-et-Loire).
33. […] nous jouions à une espèce de « cache-cache » dont j’ai oublié le nom. […] On disait alors : « Tap-tap’ pour un tel qui est dans l’écurie des poules !… » / Ou bien : « … qui est dans le tombereau !… » (J. Petit, Le Chant de mon enfance, 1990, 33-34.)
□ En emploi métalinguistique. En français local, on dit l’écurie à la jument, l’écurie aux vaches, l’écurie aux
moutons (BrussonCordon 1982, 119.)
◆◆ commentaire. Emploi par extension du sens de base du mot ("bâtiment pour les chevaux"). Première attestation (en France) : 1689 à Anse [Rhône] (en concurrence avec estable) (« Dans l’estable a ports […]. Dans l’estable à costé de lad. loge, deux bœufs arables
[…] Dans la grange, au-dessus dud. escury » dans Gonon MélGossen 1, 288)a ; écurie pour les vaches 1768, EncPl 6 Add [Fromage de Gruieres], dans un contexte relatif aux Vosges (mais
dep. 1749 en Suisse romande, v. Pierreh ; 1763 en Belgique « ecuries de vaches et chevaux » L. Remacle, Notaires de Malmedy, Spa et Verviers, Paris, 1977) ; 1774 « une écurie à chevaux et à vaches », DebrieMoyPic). Dans les parlers dialectaux, on relève ce type sémantique dans une
bonne partie du domaine d’oïl, avec une concentration particulièrement élevée dans
le Sud-Ouest (IndreL., Vienne, DSèvres, Charente) et surtout le grand Est (Champagne-Ardennes,
Lorraine, Bourgogne, Centre, Franche-Comté, Rhône et Isère ; v. ALF 451, ALO 524,
ALBRAM 576, ALLR 401, ALB 1004, ALFC 596, ALLy 292, ALJA 644). En français, il couvre
une étendue encore plus vaste (v. carte) : les enquêtes DRF ont révélé des pourcentages
de connaissance de plus de 90 % en Bourgogne, en Franche-Comté et dans Rhône-Alpes
(sauf Savoie), de 80 à 90 % en Champagne, dans les Ardennes et dans l’Ouest, et de
50 à 60 % en Savoie et en Lorraine ; quant à la locution écurie des vaches, elle est connue par environ 60 % des témoins de Basse Bretagne. Les glossaires de
régionalismes permettent d’affiner quelque peu ce tableau : v. ConstDésSav 1902 ;
BoillotGrCombe 1929, p. 156 ; VincenzCombeL 1974, 38 écurie des brebis et 47 écurie des cochons ; JamotChaponost 1975, 53 ; ColloqueDijon 1976, p. 36 « côte bourguignonne » ; ALBRAM 577b « Morbihan » ; RLiR 42 (1978), 170 « Ard., Is., Sav. » ; MédélicePrivas 1981 ; RouffiangeMagny 1983 ; TuaillonVourey 1983 ; ArnouxUpie 1984 ;
GononPoncins 1984 ; RézeauOuest 1984 ; DuraffHJura 1986 ; MartinPilat 1989 « usuel » ; RouffiangeAymé 1989 ; DucMure 1990 ; LanherLitLorr 1990 « partout » ; DromardDoubs 1991 et 1997 ; MazaMariac 1992 ; TamineArdennes 1992 « toujours employé pour étable » ; VurpasMichelBeauj 1992 « usuel » ; BlancVilleneuveM 1993 ; FréchetMartVelay 1993 « usuel » ; GagnySavoie 1993 ; TamineChampagne 1993 « généralement employé pour étable » ; MichelNancy 1994 « attesté » ; FréchetAnnonay 1995 « usuel » ; QuesnelPuy 1995 ; SalmonLyon 1995 ; SimonSimTour 1995 « usuel » ; GermiChampsaur 1996 ; FréchetDrôme 1997 « usuel » ; ValMontceau 1997 ; FréchetMartAin 1998 « usuel » ; ALIFOms écurie aux vaches (pts 19, 33, 68-70), à vaches (pts 71, 75). Le mot serait aussi usité dans toute la Provence (comm. pers. de Cl. Martel).
On constate que son emploi en français est étendu à des régions (le Morbihan, la Sarthe,
la Savoie, la Provence, l’Ardèche) qui connaissent un autre type dialectal pour l’expression
du même concept ; c’est également ce qui s’est passé en Suisse romande, où le mot
est très bien attesté en français, malgré l’absence d’un correspondant dans les parlers
(v. ci-dessus et GuilleDial 1825, 16 ; GuilleNeuch 1829-1832 ; PeterCacol 1842 ; CalletVaud
1861 ; BonNeuch 1867 ; Pierreh, PierrehSuppl ; GPSR 6, 126b s.v. écurie 3° ; Lengert 1994 ; DSR 1997). Une toute petite partie de la Wallonie semble aussi
connaître cet emploi (ALF 451, pt 185 ; PohlBelg 1950 « Saint-Mard » ; Belg 1994 « Ardenne namuroise et Gaume »). Il n’est jamais vraiment rendu justice, dans la lexicographie française, à l’extension
géographique de cet emploi du mot : rien dans GLLF ; TLF « par ext., région. (notamment Suisse) » ; Rob 1985 « régional (notamment Suisse ; impropre dans l’usage normal [sic] » ; PLI dep. 1989 « Suisse ») ; Lar 2000 « région. (Centre, Est) ; Suisse » ; FEW 11, 350a, scu ta rius, n. 5.
a Ajout de M. Gonon, art. cit., 294, en note : « C’est encore, en Lyonnais comme en Forez, la façon élégante de désigner l’étable :
“il a un grand écurie, bien rénové” (entendu en 1973 à Saint-Symphorien-sur-Coise). »
b « On a porté entre crochets des emplois d’écurie obtenus dans divers contextes avec un sens légèrement différent de celui impliqué
par la question. Souvent il s’agit d’un terme générique désignant l’ensemble des bâtiments
où sont logés les animaux. Nombre de ces emplois ont d’ailleurs été obtenus au pluriel.
Par contre dans le Morbihan, par exemple, il s’agit d’une dénomination applicable
soit à l’écurie proprement dite, soit à l’étable. Mais dans ce dernier sens l’emploi
d’écurie relève plutôt du français régional : à plusieurs reprises les témoins ont traduit
spontanément la dénomination dialectale de l’étable par écurie et ont employé ce dernier mot dans la conversation de préférence à toit. »
△△ enquêtes. EnqDRF 1994-96. Taux de reconnaissance : Ain, Ardèche, Charente-Maritime, Côte-d’Or, Drôme, Isère,
Loire, Haute-Loire (Velay), Nièvre, Saône-et-Loire, Haute-Saône, Deux-Sèvres, Territoire-de-Belfort,
Vendée, Vienne, Yonne, 100 % ; Aube, Marne, 80 % ; Charente, Moselle, 75 % ; Indre-et-Loire,
70 % ; Doubs, Jura, Rhône, 65 % ; Vosges, 55 % ; Haute-Marne, Meurthe-et-Moselle,
Meuse, Savoie et Haute-Savoie, 50 %. (écurie des vaches) Morbihan, 75 % ; Côtes-d’Armor, 65 % ; Finistère, 50 %.
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